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Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 25 juin 2016, 22:11
par Viking

CHRISTOPHE ROUSSE @ 25/06/2016 - 13h35 a dit:

Viking @ 25/06/2016 - 13h26 a dit:

Comment un salarié français peut lutter? Et bien en faisant baisser le montant des charges en France.


Les affreux Bouygues et Vinci sont des exploiteurs, mais quand tu achètes ton kite ou ton tshirt made in China, tu fais la même chose: tu confie ton travail de couture à un gamin payé au lance pierre plutôt qu'à un salarié français.

Je m'attendais à ce genre de réponse ....


Déjà pour le kite et d'autres articles , on nous a pas vraiment laissé le choix n'y demander notre avis , et quand je l'ai , je ne choisie pas forcement le moins disant d'un bien ou d'un service , exemple :


je n'ai jamais pris de compagnie Low Coast car j'ai le choix quitte à moins voyager .




Evidemment que tu pouvais t'attendre à ce genre de réponse. Que veux-tu qu'on te réponde d'autre?

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 25 juin 2016, 22:13
par Viking

CHRISTOPHE ROUSSE @ 25/06/2016 - 19h36 a dit:

Je vous le dit , les vieux , c'est une plaie , je voudrai faire un parti politique anti-vieux , mais personne ne veux me suivre .....




C'est marrant que nous soyons si souvent en désaccord alors que ton postulat de base est le même que le mien. Et je te suis quand tu veux pour ton parti, mais n'attend pas trop, quand je serai vieux je ne serai plus d'accord!  :)

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 25 juin 2016, 22:15
par Viking

S0-6 @ 25/06/2016 - 13h28 a dit:

Oula mince ça n'a pas l'air bon se que vous dites, c'est vrai que je met beaucoup de smiley ;D

La ressemblance s’arrête là ou y à autre chose ?




Tu devrais mettre un peu plus de guillemets

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 25 juin 2016, 23:15
par Homerdusud
Ben moi j aime bien les vieux. Ils ont très souvent plus de jugeote que les petits cons qui croient tout savoir et n ont jamais rien vécu, comme joke :fear:

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 01:16
par S0-6

Homerdusud @ 25/06/2016 - 23h15 a dit:

Ben moi j aime bien les vieux. Ils ont très souvent plus de jugeote que les petits cons qui croient tout savoir et n ont jamais rien vécu, comme joke :fear:




Moi aussi j'aime bien les vieux, ma Mamie elle me donne de l'argent pour mon anniversaire et pour noël et il y a toujours des bonbon et du coca chez elle ;D  ;D


Viking @ 25/06/2016 - 22h15 a dit:

S0-6 @ 25/06/2016 - 13h28 a dit:

Oula mince ça n'a pas l'air bon se que vous dites, c'est vrai que je met beaucoup de smiley ;D

La ressemblance s’arrête là ou y à autre chose ?




Tu devrais mettre un peu plus de guillemets




Ah ok, j'prend note  :D

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 07:45
par Viking

Homerdusud @ 25/06/2016 - 23h15 a dit:

Ben moi j aime bien les vieux. Ils ont très souvent plus de jugeote que les petits cons qui croient tout savoir et n ont jamais rien vécu, comme joke :fear:




Le Joke a 50 ans...  :inn: Et il a tout vécu... sauf le travail

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 07:51
par Homerdusud
J'ai dit tres souvent :fear:

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 10:41
par thejoker

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 10:43
par thejoker

S0-6 @ 25/06/2016 - 01h15 a dit:

Bonjour, Bonjour !


J'suis nouveau et je m'incruste vite fais  :fear:  :D


Vous trouvez pas que cette histoire de Brexit, c'est de la politique un chouïa (juste un chouïa  ;D ) populiste ! Ah tient on dirai le même genre de politique que Trump et Le Pen, visiblement le phénomène de moutonnisme et de pigeonnisme (oui oui, je fais de beau néologismes :p j'ai pas le droit ?) de la société, se répand dans le monde entier !

Nan plus sérieusement c'est quoi ? un phénomène de dégoût des politiques actuel ? les gens veulent du nouveau, du frais ?




populiste est le terme employé par l'oligarchie pour dénoncer des politiques qui cherchent à diminuer voir faire disparaître leurs prébendes


tu manges çà quel râtelier saucisse?

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 10:49
par thejoker

BB_253 @ 24/06/2016 - 19h39 a dit:

thejoker @ 24/06/2016 - 19h33 a dit:

BB_253 @ 24/06/2016 - 18h36 a dit:

thejoker @ 24/06/2016 - 18h07 a dit:




donc on en revient à la vision de la nature de l'Homme et comment la contraindre ou pas!




... mais tu te relis ds fois? Chomsky dénonces le cognitif des masses, et tu voudrais inverser le processus, en "contraignant la vision de l'homme", donc faire ce que font les néocons, mais à l'envers... tu saisis ce que tu dis?... C'est par l'analyse, le questionnement, la remise en question des choses, préceptes, dogmes, concepts, soit-même, que "l'Homme" progressera... certainement pas en "contraignant" sa nature...  :rolleyes:




t 'énerves pas

y a un "ou pas" qui t’échappe on dirait  :D  :D



la contrainte qui existe de nos jours explique sûrement la baisse de QI... :fear:

tu veux parler d"égrégores aussi?



l'homme progresse avant tout par la découverte sûrement pas avec les contraintes du dogme ou de préceptes à remettre  en cause

mais avec la remise en cause l'analyse des processus de découverte..

ce qui importe c'est d'appréhender des dynamiques plutôt que des états statiques comme les dogmes ou préceptes ...

c'est perdre son temps que de discuter avec celui qui oppresse


il faut du mouvement pour découvrir au delà de la sphère d'influence du dominant porteur de dogmes

sinon on reste dans la grotte..



relis ce que j'ai écris, et relis tes propos...




ou parles tu de mouvement, de dynamiques, de découvertes, d'explorations gangrenés par la spéculation et les sangsues financières?  B)

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 10:52
par thejoker

Viking @ 26/06/2016 - 07h45 a dit:

Homerdusud @ 25/06/2016 - 23h15 a dit:

Ben moi j aime bien les vieux. Ils ont très souvent plus de jugeote que les petits cons qui croient tout savoir et n ont jamais rien vécu, comme joke :fear:




Le Joke a 50 ans...  :inn: Et il a tout vécu... sauf le travail




effectivement je n'ai pas vécu le "travail" moderne fait d'exploitants ou d'exploités...

du coup je fais pas 50 mais 40 ans... B)


le travail doit libérer et garder en bonne santé :fear:

mais y a aussi les compromissions de couple qui détruisent des vies... :fear:

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 11:18
par thejoker
http://reseauinternational.net/le-brexit-ou-un-sursaut-contre-la-demolition-financiere-des-peuples/


" première vue, nous ne pouvons que saluer cette occasion d’expression qui a été donnée au peuple anglais, de faire entendre sa voix, et qui menace de faire des émules[i]. Les cris d’orfraies hystériques s’élevant contre le « populisme » (comprendre: l’odieuse outrecuidance de faire appel au peuple) ne parviennent qu’à nous inspirer un sourire de mépris…


Un constat évident tout d’abord, c’est qu’il y aurait toute une pédagogie à refaire au sujet du rôle profondément sacré de l’État, c’est à dire la défense de son peuple: la défense contre toute menace armée, mais aussi contre la prédation financière et encore plus contre les idéologues stipendiés, désireux d’aboutir à faire aimer au peuple sa propre servitude…


Il est tout de même une volupté de fin gourmet que d’entendre bon nombre de personnels politiques et autres « faiseurs d’opinion », qui avaient pris hier position pour le maintien de la Grande-Bretagne dans l’UE, contraints d’avaler leur chapeau ce matin: est ainsi sanctionné l’usage des arguments les moins honnêtes, jouant bien plus sur la peur des masses sans jamais oser comprendre sainement les causes profondes du malaise. Ils en sont pour leurs frais, et ce n’est que justice. Mais c’est aussi un coup de semonce aux mêmes personnels qui dispensent leurs bons offices en France: ceux-là ont encore une chance aux yeux des Français, de retourner leur veste à temps…


Plus globalement, il s’agit là d’une sanction qui n’est pas volée, contre une Union Européenne qui prétend inexorablement se faire indépendamment de ses propres peuples: un détestable trafic sur les plus fervents idéaux, ces idéaux qui ont rendu possible toute la richesse de la civilisation européenne, celle-là même qui est aujourd’hui délibérément mise en danger par l’UE…


Nous émettons un avertissement clair ici: il est absolument capital de savoir distinguer l’Europe d’une part, de l’Union Européenne d’autre part en tant que construction artificielle: il est tout à fait dramatique que cette « nouvelle URSS« [ii] qu’est devenue l’UE, ne serve plus aujourd’hui que les grands monopoles affairistes transnationaux, le plus souvent d’ailleurs pour le compte de puissances étrangères à commencer par les États-Unis. Pour qui comprend les coulisses de l’Histoire, cette intention était claire dès son origine[iii], elle n’a fait qu’être confirmée par son évolution.


Mais à ce jeu là, le risque est grand de voir les peuples européens mis sous pression, jeter le bébé européen avec l’eau du bain de l’UE. Nous devons donc rappeler résolument que cette UE en tant que construction fantasque, n’a plus rien à voir avec la réalité d’une communauté culturelle indubitable qui fut celle de la Vieille Europe, et qui n’a pas attendu l’autorisation des fonctionnaires de Bruxelles pour exister. Ce qui veut dire qu’être contre « cette » UE, ne signifie pas être anti-européen: la communauté européenne existe de toute façon comme une réalité de fait, indépendamment des vicissitudes de l’histoire, il s’agit là de toute façon d’une évolution commune.


Il nous faut donc rappeler que le Royaume-Uni fait indubitablement partie de cette communauté culturelle de la Vieille Europe, et toute hystérie anti-anglaise serait ici déplacée: soyons donc vigilants à ce que nos médias ne jouent pas sur cette corde sensible auprès du public français. Car certes, depuis son entrée dans l’UE le Royaume-Uni n’a cessé de faire cavalier seul, et de quémander une « UE » à la carte: en déstabilisant certains des aspects initialement les plus positifs de la CEE (le Droit continental, les langues, la PAC), et important surtout son « special link » avec les Etats-Unis tel un cheval de Troie… De même, la tentation existe pour  un esprit conscient de l’Histoire, de vouloir faire revivre de vieilles alliances stratégiques françaises: on pourrait par exemple saluer « l’effet de sillage » plausible du référendum écossais (18 septembre 2014), sans même évoquer la trouble situation irlandaise…


Mais il s’agit là en fait d’un étonnant « piège » mondialiste, jouant les irrédentismes (ici l’Écosse) contre les Nations (le Royaume-Uni), mais tout ceci en conservant coûte que coûte le cadre de l’UE: en effet, l’Écosse et l’Irlande du Nord proclament ne  pas voir leur avenir en dehors de l’UE[iv]. La belle affaire… Ce serait donc une Angleterre réduite à sa portion congrue qui sortirait de l’UE? On ne pourrait envisager une situation aussi « bâtarde », et pourtant il s’agit là bien d’une mise sous pression grossière de l’État-Nation britannique. En aucun cas la France ne doit s’en réjouir, car la même chose peut être constatée dans d’autres pays à commencer par l’Allemagne, mais visant surtout la cohérence de l’État-Nation qu’est la France: nous voyons en effet de troubles intérêts extérieurs jouant artificiellement sur des irrédentismes (réels ou suscités), vantant les « Eurorégions« , aboutissant toujours à la même constante globale: détruire les États-Nations souverains par un régionalisme artificiel, pour mieux promouvoir ce « rêve mondialiste » sans Etats souverains que sert l’UE.


Le Royaume-Uni est donc en fait tout aussi menacé que la France et les autres États-Nations souverains de la Vieille Europe, alors qu’il fut le berceau d’un humanisme chrétien européen qui n’attendit pas la Renaissance pour émerger: Bède le Vénérable (672-735), évêque de Canterbury, eut pour disciple Alcuin de York (730-804), qui fut l’un des plus éminents inspirateurs de Charlemagne. Ce fut alors l’un des rares épisodes de collaboration fructueuse entre les pouvoirs temporels et spirituels en Europe, plutôt qu’une désastreuse opposition entre le Pape et les Etats naissants d’Europe de l’Ouest. Rappelons ensuite pour mémoire les épisodes célèbres de la Magna Carta (1215) et plus tard de l’Habeas Corpus (1679).


Mais nous avons à redécouvrir aussi tout un pan de l’histoire britannique que nous autres Français avons fort peu comprise, ou plutôt oubliée, ce fut la façon dont le peuple anglais fut violé par sa propre finance: depuis près de 500 ans avec le remariage d’Henri VIII au XVIe siècle et la démolition du régime des Abbayes de l’« Angleterre heureuse » (« Merry England« ). Ce fut surtout l’émergence progressive de la City de Londres en tant que place financière mondiale, qui aboutit à créer « la pauvreté au sein de l’abondance[v] » en Angleterre.


Or c’est cette émergence d’« un État financier dans l’État souverain » britannique, qui aboutit progressivement à mettre terriblement en danger le peuple et la Nation britannique tout entière en tant que « vouloir-vivre ensemble »: cette situation était tenable lorsque l’on « vendait » au peuple britannique des victoires militaires extérieures, permettant de masquer la démolition sociale intérieure tandis qu’elles ouvraient de grands monopoles commerciaux aux intérêts affairistes de la City (une logique que d’ailleurs la France a subi de plein fouet durant la Guerre de Sept ans au milieu du XVIIIe s.: la première guerre « mondialiste » du capitalisme monopolistique « moderne »). Cette situation n’est plus tenable aujourd’hui, à mesure que l’on demande au peuple anglais d’assister à sa propre destruction[vi]: la démolition de tous les régimes sociaux depuis Margaret Thatcher, la désindustrialisation britannique sous les coups d’une finance vampire qui a considérablement tiré son épingle du jeu depuis la crise de 2008, et surtout: la dilution délibérée du peuple anglais, grâce à « l’armée de réserve du capitalisme » immigrée dont le Londonistan n’est qu’une des conséquences qui ne peuvent plus être cachées.


Le peuple britannique socialement démoli, se sent donc légitimement pris en tenaille entre sa finance mondialiste et l’importation massive d’immigrants anormalement privilégiés[vii]: il est donc légitime qu’il s’oppose à la seule logique de démolition du Royaume-Uni pour lui identifiable et à sa portée, c’est-à-dire ce référendum sur le « Brexit ».


Cependant, notre seconde réaction nous conduit à flairer quelque chose d’autrement plus important en termes de conséquences, dans ce « Brexit »: pour ne prendre que deux « témoins » les plus importants en termes de capitalisation du domaine français des assurances et de la banque, la chute en bourse de 16 % d’AXA, et de 18 % de BNP Paribas à l’heure où nous écrivons ces lignes[viii], nous semble potentiellement être l’élément initiateur d' »autre chose »:


Tous les réels initiés du monde de la finance digne de ce nom, savent que strictement rien n’a été fait depuis la crise de 2008 pour en prévenir de nouvelles qui seraient basées sur les mêmes mécanismes. Dès lors, tous les milliers de milliards jetés par les fenêtres afin de « renflouer » les banques fautives avec de l’argent public, n’ont servi qu’à faire gonfler une masse critique de dettes artificielles qui ne demandent qu’à déclencher un krach boursier d’une ampleur jamais vu de mémoire d’homme. Tous ces éléments sont rappelés régulièrement par des sources alternatives comme le blog célèbre de Pierre Jovanovic, et seuls les journalistes de BFV « propagande » TV et Consorts oseront pourront prétendre en être surpris…


Ce « Brexit » nous semble donc pouvoir tout à fait être le premier signal d’un effondrement du système financier mondial actuel, aussi inéluctable que potentiellement catastrophique. Mais pour bien comprendre notre « hypothèse de travail » ici, cette situation doit être rapprochée de deux précédents assez peu souvent compris des sources françaises, qui illustrent pourtant à quel point l’histoire de la City nous montre qu’elle a toujours su tirer son épingle du jeu financier mondial, et gageons que cette fois ci encore elle y parviendra[ix]:


               – Le krach financier de 1929 fut le résultat d’une rivalité très peu comprise en France, entre le Royaume-Uni et les États-Unis: plus précisément une rivalité entre les finances de la City et de Wall Street, spécialement autour des enjeux pétroliers hautement lucratifs. Et dans cette crise de 1929, ce furent les Rothschild de Londres qui dominèrent les Morgan de New York (qui s’appuyaient sur une base industrielle), lesquels furent ensuite remplacés par les Rockefeller (qui eux, s’appuyaient sur le pétrole)[x].


               – Surtout, nous devons nous remémorer les « chocs monétaires » de 1979, qui frappèrent à mort les industries des pays émergents, mais aussi celles des pays développés: ils venaient en fait de la City de Londres qui les souffla à l’oreille de Margaret Thatcher, avant seulement d’être repris par le Directeur de la Fédérale Réserve américaine, Paul Volcker[xi]. Tous les tissus industriels occidentaux autant que ceux des pays émergents, furent atteints de plein fouet, aboutissant sur une génération « no future« , et des conséquences sociales toujours plus impitoyables s’exerçant contre les populations du monde entier.


Tout ceci nous conduit donc à suspecter des « grandes manœuvres » financières,  dont historiquement la France a toujours fait les frais (comme d’ailleurs l’Allemagne). Or l‘Histoire nous enseigne qu’elles n’aboutissent jamais à autre chose que la « pauvreté au sein de l’abondance », celle-là même qui a été rendue possible, si ce n’est délibérément promue par l’UE. Mais le pire, c’est que dans cet engrenage qui peut avoir des conséquences terribles, la France d’aujourd’hui ne contrôle plus aucun levier qui pourrait nous permettre d’en amortir les conséquences, que le peuple français serait donc condamné à subir de plein fouet…


Quelle est la bonne clé de compréhension ici? Il s’agit du glissement du pouvoir depuis les Etats-Nations souverains, vers les Banques Centrales, cartels de banques privées…


Il est fondamental de bien distinguer les nations anglaises et américaines d’une part, et les creusets financiers de la City et de Wall Street d’autre part: TOUS les Etats-Nations sont visés, et nous sommes tous d’ores et déjà engagés que nous le voulions ou non, dans une sorte de guerre mondiale contre une finance devenue folle, et d’un point de vue de cette finance mondialisée, absolument toutes les nations ont vocation à être démolies puis fusionnées, y compris les nations anglaise et même américaine.


Il devient donc urgent de se demander: « comment en sommes-nous arrivés là? » Nous ne nous en sortirons pas à moins de réexaminer et mieux comprendre la question fondamentale de la monnaie, et des rapports que doit entretenir la finance avec l’économie physique: la finance n’est à la base qu’un outil qui se prétend pourtant « industrie financière » aujourd’hui, celle du Royaume Uni en tête, fonctionnant en vase clos tandis que l’attrition monétaire rend les peuples toujours plus pauvres, et pas uniquement les Français. Or Hélie de Saint-Marc disait que tout humain en situation de survie devient coupable[xii]. Doit-on donc attendre la « guerre de tous contre tous » avant de commencer à se poser les bonnes questions?


À notre époque où les hommes politiques feignent d’ignorer toute idée de responsabilité politique, qui devrait conduire l’actuel Premier Ministre britannique James Cameron à la démission sur-le-champ, nous serons très attentifs aux futurs développements outre-manche et à Bruxelles: le PM britannique vient en effet d’annoncer sa décision de porter ce vote du « Brexit » au Conseil Européen dès la semaine prochaine, et de ne démissionner que « d’ici octobre ». Il n’est pas sûr que le légendaire flegme britannique soit la raison principale de cette subite tempérance alors que la campagne contre le Brexit avait fait montre de bien plus d’hystérie…


Gardons notre sang-froid et voyons tout d’abord quels artifices médiatiques et politiques vont se dévoiler dans les temps prochains: tout va être fait dans les semaines qui viennent afin de minimiser ce vote du « Brexit » et de discréditer les Britanniques, tout comme les Français et les Néerlandais furent discrédités après le « non » au Traité Constitutionnel de 2005…


Il nous semble qu’il n’y a rien de sain dans cette logique d’opposition entre les humains, divisés artificiellement entre les « pour » et les « contre »: toute cette dualité artificielle nous apparaît en soi comme suspecte. Nous devons donc faire l’effort de ne pas nous arrêter à l’écume des événements, mais bien à aller en examiner les causes profondes…


Jean-Maxime Corneille"

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 12:23
par S0-6

thejoker @ 26/06/2016 - 10h43 a dit:

S0-6 @ 25/06/2016 - 01h15 a dit:

Bonjour, Bonjour !


J'suis nouveau et je m'incruste vite fais  :fear:  :D


Vous trouvez pas que cette histoire de Brexit, c'est de la politique un chouïa (juste un chouïa  ;D ) populiste ! Ah tient on dirai le même genre de politique que Trump et Le Pen, visiblement le phénomène de moutonnisme et de pigeonnisme (oui oui, je fais de beau néologismes :p j'ai pas le droit ?) de la société, se répand dans le monde entier !

Nan plus sérieusement c'est quoi ? un phénomène de dégoût des politiques actuel ? les gens veulent du nouveau, du frais ?




populiste est le terme employé par l'oligarchie pour dénoncer des politiques qui cherchent à diminuer voir faire disparaître leurs prébendes


tu manges çà quel râtelier saucisse?




Lis se que j'ai dis après au sujet de ce terme, merci de ne pas chercher la ptite bête trop facilement  ;D

En vrai je sais pas se que vous avez BB 253 et toi mais ce serai bien de ne pas avoir la critique facile et l'argumentation dénigrante, après je dis ça pour vous, c'est juste un conseil  ;)


Je me cite :


"Je sais bien que ce mot (populisme) ne sert qu'à décrédibiliser un parti sans passer par la phase réflexion et confrontation des idées, mais cela me parait évident que l’ascension du FN de Trump et plus particulièrement des partis extrémistes est due à leurs promesses de changement très radical et à la perte de confiance de la population envers les politiques actuel, ils jouent avec."

Donc j'utilise ce terme uniquement pour simplifier des faits qui me paraissent d'une évidence accablante, désolé si BB 253 et toi ne comprennent pas ça  ;D

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 12:55
par thejoker
l'évidence accablante saucisse est que tu utilises les mêmes termes que les oppresseurs ce qui ne te permet pas de réfléchir...

le vocabulaire est libérateur ou pas!!

trump ou le fn ont en commun de ne pas vouloir la guerre avec la Russie .. et toi?????

je te conseille te lire quelques posts ... avant de la remmener sur nos arguments!



http://www.solidariteetprogres.org/documents-de-fond-7/histoire/article/la-guerre-de-l-oligarchie-contre-l-etat-nation-le.html

Re :Brexit or not Brexit ?

Posté : 26 juin 2016, 13:09
par Nausicaä
Arrêtez d'être méchants avec le Joke! Ce qu'il reproche aux autres, c'est de ne pas penser comme lui!  ;D