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arf....arf....

Skal ? youhouuuuuuuu

[quote=Skal,1 Oct 2005, 08:58 PM]Tu ouvres en relachant la main arrière et en avançant un peu la main avant sur le wish, i.arf....arf... bonnard

ben voyons ! arf...arf.... c'est quoi ton dealer !

arrete la picole le samedi soir tout seul..
tu deviens digne de l'asile....tu m'inquietes meme.......

Avoue quand même que ce type raconte n'importe quoi ! Il navigue sur lac , avec 8.5 ?

! choooooooooooooooooooooo

ben le pauvre il voulait m'aider....
mais avouez que le sujet est interessant : ralentir et accélérer en gardant le planing....ralentir donc c se redresser?
hier j'ai réussi à mettre les deux pieds l'espace de 30 secondes, j'etais soustoilée.... j'arrivais à garder le planing en m'asseyant dans le harnais (en fait j'avais les jambes fléchies : bouts trop longs? harnais semi culotte tribord)) et dès que je me forçais à tendre les jambes, pouf ça ralentissait, je reste trop collée à la voile,en fait oui j'arrive plus à ouvrir pour rechoper le vent quand je sens le planing s'arrêter...c superdur ça à faire! et tu as raison O Grand Hyène...quand tu dis : ouvrir met le poids sur l'avant, c tout à fait ça.
en fait je lofe et j'appuie plus sur la jamabe arrière pour ralentir mais là ct pas la peine : soustoilée! fallait avancer!

question : ai je raison de m'assoir en pliant les jambes quand je sens que mes appuis sont trop forts (d'aiileurs ça marche, elle accélère : m'assoir comme quand on repart au largue après un virement par exemple), c le seul truc que j'ai trouvé pour appuyer au p de mât plutôt que derrière


en fait la hyène là y a une contradiction : appuyer en avant en se rapprochant du p de mât te freine...mais en même temps ça allège derrière et donc...ça devrait accelerer..je suis perdue!!!
hier j'ecartais les jambes..oui oui je sais et je gardais le pied derrière pour contôler les deventes tout ça et je bougeais le p avant à chaque risée..pas simple...la catapulte -j'en ai eu une-est venue quand je n'ai pas laissé mon pied arrière tout derrière sur les straps quasiment, le poids est passé devant et la voile s'est ouverte et m'a arrachée...
alors que pied arrière en place tout va bien...c crevant pour les jambes par contre!

ai je bon?

merci pour l'effort de...decodage arfarfarf

bises

j'ai pas vraiment tout compris...

si tu te fais plaisir, t'as tout bon...

après, je ne suis pas certain qu'en cherchant des recettes toutes faites sur ta position tu progresses mieux qu'en cherchant par toi même les conséquences de tes propres gestes ?

Je te montre la technique quand tu veux, où tu veux, dans n'importe quelle condition et je peux te faire un p'tit 5 nds peinard dans du 40 nds avec une 5.0, ça me gène pas.

Qu'est ce que tu capte pas : que c'est ta main arrière qui borde ou choque la voile et régule la puissance ? C'est pas le rôle du point d'écoute peut être ?

Si pour toi, naviguer, c'est être bloqué dans une position rigide du haut du corps et ne penser qu'à appuyer comme un goret sur son pied arrière avec une toile bordée à ras pont, ben va falloir que t'ailles prendre des cours. C'est quand même pas compliquer de comprendre que tu mets quasiment ta toile en drapeau de cette façon pour le kador que tu es...

Toi t'es en, train de te dire, si je fais ça, je vais me faire scotcher velu, grand classique du genre ?... Ben non, continue le mouvement.

Donc évite toi plutôt de raconter nawak, ou exprime toi autrement que par onomatopées, histoire qu'on comprenne ce que justement, tu ne captes pas.

Oui et non. En choquant la voile en même temps qu'on se redresse, oui (c'est ce que vous ne semblez pas comprendre), en la gardant bordée, non, on ne fait que retendre le flotteur en lui donnant plus de rail



Normal, ça "allège" le flotteur en le faisant glisser, tu reportes une partie du poids directement sur la voile, qui retransmet cette énergie par le PDM au flotteur. Mais une fois que la voile a absorbé ce poids, tu es obligé de te redresser pour la soulager à son tour s'il n'y a pas assez d'air. Tu peux comprendre ainsi la technique du pomping, si tu coordonnes ce mouvement.



Ca te freine, c'est ce que je t'explique plus haut : tu remets de la surface mouillée au niveau du flotteur, logique qu'il ralentisse jusqu'à un certain point : le flotteur ne peux accélérer vraiment qu'un fois basculé le poids sur la partie arrière du scoop, mais c'est vitesse qu'on peut contrôler à loisir une fois la technique maîtrisée.

Une planche en dessous, ce n'est pas une ligne droite, mais des segments. Pour commencer à accélérer, on glisse d'abord sur la partie médiane du scoop, puis au planning, on passe sur la partie arrière. Ta planche fait une légère bascule sur ces 2 parties fonction des allures. Si tu bascules trop vite sur la partie arrière, tu plantes le flotteur, si tu pousses trop le flotteur sur l'avant, c'est la partie spatule du scoop qui le scotche : il est trop penché sur l'avant.



Tu te balances d'avant en arrière : pied arrière derrière les straps avant, pied avant devant.

- en avant, tu remets le flotteur à plat, trop en avant, tu le scotches.
- en arrière, tu le fais se cabrer = moins de surface mouillée tu accéléres, trop d'appui, il continue de se cabre, il plante et loffe, surtout si on est limite planning.

Si on sent qu'on ralentit, il faut reporter son poids doucement sur l'avant : ça retend le flotteur et lui évite de cabrer brusquement en décrochant et on mouille une surface de rail plus importante pour reprendre de l'appui.

C'est clair, faut déjà sentir les choses, ce que tu fais en ce moment.

Sur ce, y'a un poil baston, à toute