Pozo, Merci julien taboulet
Posté : 08 juil. 2008, 19:37
Lu sur WJ...<br /><br />
Si il y a pas de POZO en 2009 faute de sponsors..on dira Merci Taboulet...<br /><br />
Je trouve le journaliste tres complaisant.."des grands enfants"..si c est pas mignon...<br /><br /><br />
C’est bien connu, les windsurfers pros sont de grands enfants… Vendredi dernier, à une grosse semaine de l’épreuve PWA de Pozo Izquierdo, Jean-Baptiste Caste, Thomas Traversa et Julien Taboulet rentrent un peu tard à leur hôtel. Petit délire entre amis avant de se coucher, un transat termine dans la piscine et tout le monde va se coucher…<br />
Le lendemain, le responsable de l’hôtel, également sponsor de l’épreuve, ne l’entend pas de cette oreille et demande des comptes à Julien Taboulet. Bon samaritain mais aussi garçon responsable, F-100 rembourse sur le champ le transat abîmé, prend la responsabilité de la "bêtise", se fait gentiment sortir de l’hôtel et tout le monde pense en rester là… Sauf que le responsable de l’hôtel l’a visiblement "mauvaise" envers les coureurs en général et Julien Taboulet en particulier et ce dernier part alors en croisade en mettant la pression auprès des organisateurs espagnols qui eux-mêmes se retournent vers les responsables de la PWA avec un message et un seul : Si Julien Taboulet n’est pas exclu de l’épreuve, l’hôtel ne sera plus partenaire de l’épreuve PWA l’an prochain…<br />
Pendant plus de 24h, F-100 reste dans l’incertitude la plus complète, l’équipe du PWA World tour devant statuer dans cette situation pour le moins délicate… Finalement, vendredi matin, le jour même de l’épreuve, la PWA consent à ce que les "3 coupables" restent mais ils doivent s’acquitter d’une amende de 1500 $ ! Sanction disciplinaire et financière, c’est le seul moyen que le staff PWA a trouvé pour satisfaire toutes les parties…<br />
A l’heure où nous écrivons ces lignes, Julien Taboulet était bien en course à Pozo vendredi et termine 9ème de l’épreuve des vagues mais le fameux hôtelier comme les organisateurs espagnols ne semblent pourtant pas vouloir se satisfaire d’un tel arrangement…
Si il y a pas de POZO en 2009 faute de sponsors..on dira Merci Taboulet...<br /><br />
Je trouve le journaliste tres complaisant.."des grands enfants"..si c est pas mignon...<br /><br /><br />
C’est bien connu, les windsurfers pros sont de grands enfants… Vendredi dernier, à une grosse semaine de l’épreuve PWA de Pozo Izquierdo, Jean-Baptiste Caste, Thomas Traversa et Julien Taboulet rentrent un peu tard à leur hôtel. Petit délire entre amis avant de se coucher, un transat termine dans la piscine et tout le monde va se coucher…<br />
Le lendemain, le responsable de l’hôtel, également sponsor de l’épreuve, ne l’entend pas de cette oreille et demande des comptes à Julien Taboulet. Bon samaritain mais aussi garçon responsable, F-100 rembourse sur le champ le transat abîmé, prend la responsabilité de la "bêtise", se fait gentiment sortir de l’hôtel et tout le monde pense en rester là… Sauf que le responsable de l’hôtel l’a visiblement "mauvaise" envers les coureurs en général et Julien Taboulet en particulier et ce dernier part alors en croisade en mettant la pression auprès des organisateurs espagnols qui eux-mêmes se retournent vers les responsables de la PWA avec un message et un seul : Si Julien Taboulet n’est pas exclu de l’épreuve, l’hôtel ne sera plus partenaire de l’épreuve PWA l’an prochain…<br />
Pendant plus de 24h, F-100 reste dans l’incertitude la plus complète, l’équipe du PWA World tour devant statuer dans cette situation pour le moins délicate… Finalement, vendredi matin, le jour même de l’épreuve, la PWA consent à ce que les "3 coupables" restent mais ils doivent s’acquitter d’une amende de 1500 $ ! Sanction disciplinaire et financière, c’est le seul moyen que le staff PWA a trouvé pour satisfaire toutes les parties…<br />
A l’heure où nous écrivons ces lignes, Julien Taboulet était bien en course à Pozo vendredi et termine 9ème de l’épreuve des vagues mais le fameux hôtelier comme les organisateurs espagnols ne semblent pourtant pas vouloir se satisfaire d’un tel arrangement…