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En avant, Premier post.<br /><br /><br />
Mickaël LOUÉDEC.<br />
La bagarre entre deux femmes a très mal tourné devant la boîte de nuit. La mordeuse n’a pas encore été interpellée.<br /><br />
L’histoire remonte au samedi 16 mai, devant un bar de nuit, dans le quartier du Pilier-Rouge, à quelques encablures de la rue Jean-Jaurès. Les circonstances sont confuses.<br /><br />
Dans la nuit, une bagarre éclate entre une Brestoise de 22 ans et une Britannique, de 16 ans son aînée. Pourquoi ? Les motifs de l’altercation restent troubles, l’alcool n’aidant certainement pas les deux protagonistes à avoir les idées claires.<br />
La police enquête<br /><br />
La plus jeune des deux femmes aurait bousculé le compagnon de l’autre. La suite est plus claire : il n’y avait sans doute pas de quoi en faire toute une histoire mais, au comble de l’énervement, la Britannique mord violemment son adversaire au pouce… Et l’arrache avec les dents !<br /><br />
La victime est immédiatement conduite à l’hôpital. Selon certaines sources, le doigt manquant est longtemps resté introuvable, malgré les nombreuses recherches menées devant l’établissement de nuit.<br /><br />
Une plainte a été déposée au commissariat par la victime et l’enquête suit actuellement son cours. La police dit être en possession d’éléments d’identification de la mordeuse. Celle-ci n’a toutefois pas été interpellée pour le moment.La victime, elle, va très certainement devoir subir une greffe.

L’exploit de ce Landernéen a provoqué l’hilarité du tribunal correctionnel, ce vendredi. La victime : une voiture de gendarmes qui a manqué d’être souillée.


Durant le festival Afrik’O’Bendy de Logonna-Daoulas, le 27 juillet à 1 h 15, des gendarmes en stationnement assurent l’ordre lorsqu’un homme de 22 ans, ivre, s’approche de leur véhicule.


Soudain, il se place derrière la voiture, baisse son pantalon et sort son arsenal. Il a à peine le temps de mimer l’acte sexuel avec le véhicule que les gendarmes l’interpellent.

« Quelqu'un qui était très bourré »


Un acte d’« automophilie », selon les mots du procureur, qui provoque l’hilarité du tribunal correctionnel de Brest, devant lequel il comparaissait ce vendredi.


« Pourquoi avoir essayé de violer la voiture par le pot d’échappement ? », demande le président Lemname, gardant difficilement son air assidu. Le prévenu, lâchant un sourire, avance ne se souvenir de rien.


Le tribunal doit ordonner une expertise psychiatrique « pour quelqu’un qui était très bourré et qui faisait n’importe quoi, mais c’est la loi ». Il sera jugé le 20 novembre, le temps pour lui de trouver une bonne explication.

C'était quel modèle de véhicule?

polo29sud @ 23/05/2015 - 13h52 a dit:

C'était quel modèle de véhicule?

une béhême.

C'est bizarre des flics en BMW en bretagne!

c est queue des menteries , on prefere les transport écolos chez nous

Toujours à Brest......


Souvenez-vous&#8201;: le 2 octobre, cet homme de 53 ans avait recouvert quatre distributeurs bancaires avec ses excréments. Ses besoins, contenus dans une bouteille, étaient étalés à la truelle. Un récidiviste un peu particulier qui revendique des actions anti-système. Le tribunal correctionnel avait renvoyé l’affaire le 30 janvier, demandant une expertise psychiatrique.


C’est ainsi qu’il comparaissait ce vendredi devant la justice, longue barbe grise et canne à la main. Pas très loquace, il n’a jamais posé de problèmes à l’UDAF (Union départementale des affaires familiales). Il est même plutôt autonome, voire marginal, selon sa curatrice. Il souffre de troubles psychiques altérant son discernement, mais est conscient d’enfreindre la loi.

« La cible d'un complot »


C’est suite à un refus de la banque d’effectuer un virement, après une erreur de la Poste, que cet homme a décidé d’agir.


« Un acte énigmatique », qui, pour le procureur Diacono, mérite trois mois de surveillance sous bracelet électronique, en plus de la révocation de son sursis avec mise à l’épreuve de trois mois, suite à la condamnation de son premier fait d’armes en janvier 2014.


« Il a l’impression d’être la cible d’un complot », avance Me Adélaïde, son avocate. Admis en hôpital psychiatrique l’année dernière, il rencontre désormais son psychiatre tous les mois. Finalement le tribunal l’a condamné à soixante jours-amendes à 2 €.

le joke a déménagé en bretonnie ?

Ne te laisse pas abuser Funlolo, c'est une perfide manœuvre de la hyène pour faire passer les bretons pour des alcoolos demeurés.


Une basse calomnie sur son voisin breton pour faire diversion des tares normandes :


"Le pare brise complètement givré

A 23h, mercredi dernier, alors qu'il ne reste qu'une heure pour profiter de l'année 2014, une patrouille de Police Secours est arrêtée à un feu rouge de l'avenue du 14 juillet à Sotteville-lès-Rouen. Tout semble calme. Mais soudain les policiers voient arriver en face d'eux une voiturette qui roule tous feux éteints et dont le pare brise est complètement givré ! Devant les policiers médusés, la voiture sans-permis passe le feu et tourne dans une rue perpendiculaire.


La patrouille décide alors de procéder à un contrôle et démarre pour suivre le curieux petit véhicule.

Mais en arrivant rue Tilloy, les policiers voient la voiturette faire une embardée et emboutir une voiture en stationnement (une Renault Laguna garée le long du trottoir).

En s'approchant, les fonctionnaires vont découvrir qu'il n'y a pas que le pare brise de la voiturette qui est givré ! Le conducteur, une fois descendu de son engin a du mal à se tenir debout, il titube, sent l'alcool et tient des propos répétitifs. Une alcoolémie qui sera mesurée à 2,40 grammes d'alcool par litre de sang…


Interpellé, cet homme âgé de  43 ans et habitant Sotteville, a été ramené à l'hôtel de police pour dégrisement avant audition."

J'en ai d'autres sous le coude des fois que la calomnie persisterait :






"A Fécamp, un accident sur fond d’alcool, de drogue et de vitesse

Publié le 06/05/2015 á 22H47


A Fécamp, un accident sur fond d’alcool, de drogue et de vitesse

Des pompiers spécialisés en sauvetage-déblaiement ont étayé le mur juste après l’accident (photo D. R.)


Les analyses toxicologiques permettent désormais à la police et à la justice de mieux appréhender les causes de l’accident qui a grièvement blessé un conducteur et pulvérisé un mur du restaurant « Aux Trois Rivières », la nuit de vendredi à samedi dernier, route de Valmont, à l’angle du chemin de Briqueville à Fécamp (nos éditions de dimanche). L’automobiliste, un Fécampois de 26 ans au volant d’un coupé Peugeot 406 appartenant à son père, roulait sous l’emprise de l’alcool et de la drogue, d’après les résultats des prélèvements. De source proche de l’enquête, une prise de sang, réalisée près de six heures après l’accident, a établi un taux d’1,77 gramme d’alcool par litre de sang. Il était aussi fortement positif au THC, substance active du cannabis, avec 4 nanogrammes par millilitre de sang. Il venait manifestement de fumer, quand il est sorti de la route vers 1 h 30.


La Peugeot a traversé le pignon aux deux tiers, à environ trois mètres du sol. Hier, son conducteur était toujours hospitalisé au Havre. Il n’avait toujours pas pu être entendu par la police. D’après les constatations, il roulait en direction de Valmont. A-t-il fait un malaise ou s’est-il endormi sous l’emprise de l’alcool et des stupéfiants ? L’enquête tentera de le déterminer. Toujours est-il que l’auto roulait à grande vitesse au moment de l’impact. Une grosse pierre, heurtée quand elle a quitté la chaussée, a joué le rôle de tremplin.


Le restaurant est lui fermé et son personnel au chômage technique. Un arrêté de péril a été pris par la ville. Le véhicule est toujours encastré dans la façade, le temps de procéder à des expertises."

cetait pas moi j'étais pas là!

Shafff ? ...

Quelle manœuvre maladroite de la hyène.

En effet, l’œil de Moscou est maintenant rivé sur les normands:






"Le Havre Bruit d'explosion, au Havre : deux bombardiers russes interceptés au-dessus de la Manche

Mercredi 28 janvier 2015, un Rafale de l'armée de l'Air a décollé de Creil (Oise). Il a franchi le mur du son, près du Havre. En cause : une menace russe près des côtes normandes ?


Un Rafale assurant la permanence opérationnelle avait décollé en urgence de Creil, direction la Normandie. (Photo d'illustration CD)Un Rafale assurant la permanence opérationnelle avait décollé en urgence de Creil, direction la Normandie. (Photo d'illustration CD)


Un grand « boum » dans le ciel du Havre (Seine-Maritime). Entendu de Deauville à Gonfreville-l’Orcher, le bruit d’un avion de chasse franchissant le mur du son à proximité de la cité Océane a agité les réseaux sociaux, mercredi 28 janvier 2015, en début d’après-midi. Mais pourquoi un Rafale a-t-il été envoyé ainsi, en urgence, transpercer le ciel havrais à 11 km d’altitude ?

Un Rafale décolle en urgence


Parti de Creil (Oise) en début d’après-midi, le Rafale de la permanence opérationnelle a été envoyé en direction du Havre, puis de la Manche. Un scramble déclenché habituellement lorsqu’un aéronef est en difficulté, présente une panne (comme une panne radio) ou présente une menace.

La permanence opérationnelle – assurée par des Mirage 2000 et des Rafale de l’armée de l’Air, mais aussi des Rafale de la Marine nationale – a en effet pour principale mission de défendre le territoire et faire respecter « la souveraineté nationale dans l’espace aérien français », indique l’armée de l’Air.

C’est pour l’une de ces missions que l’avion de chasse s’est envolé, avec l’autorisation d’effectuer un vol supersonique et de franchir le mur du son. Une mission qui pourrait être liée à l’incursion, au-dessus de la Manche, de deux bombardiers russes, le même jour.

Deux bombardiers russes entre la Normandie et le Royaume-Uni


Mercredi 28 janvier 2015, deux avions russes (des TU-95) se trouvaient au-dessus de la Manche, entre Cherbourg et Bournemouth. Des aéronefs qui ont provoqué un incident diplomatique, outre-Manche. Et pour cause : les deux avions russes, qui n’avaient pas signalé leur présence aux autorités aériennes étaient des bombardiers lourds, capables de transporter des missiles nucléaires, notamment.

Si les deux avions ne se trouvaient pas dans l’espace aérien britannique, ils étaient en revanche dans sa « zone d’intérêt », rapporte Le Daily Mail. À l’endroit où les deux avions russes se trouvaient, les côtes de Normandie sont distantes de 130 kilomètres des côtes britanniques. La Royal air force, l’armée de l’Air du Royaume-Uni, a immédiatement envoyé deux avions de chasse, contrôler les aéronefs russes. Ils ont été escortés pendant près de 30 minutes, indique le journal. L’ambassadeur de Russie a été convoqué, dès le lendemain, par le gouvernement britannique.

En France, l’armée de l’Air « ne souhaite pas confirmer »


Le décollage, en urgence, du Rafale qui assurait la permanence opérationnelle, ce mercredi 28 janvier 2015, pourrait donc, selon nos informations, avoir un lien avec cet incident. L’armée de l’Air, sollicitée par Normandie-actu, n’a pas démenti cette éventualité, mais préfère cependant « ne pas la confirmer ».

Ces derniers mois, plusieurs incursions similaires, à proximité d’espaces aériens de pays de l’OTAN, ont eu lieu. Et selon plusieurs spécialistes, auraient tendances à se multiplier.

En novembre 2014, ce sont des navires russes, qui croisaient dans la Manche, au large de la Cherbourg, qui avait inquiété les autorités."


Ha, Ha !

On fait moins le malin maintenant.

Quel beau morceau de propagande.


C'est tout simplement pour Viking qui avait dépassé la bande des 300m à la Hève que le Rafale a décollé. Une petite frisette de la tétière à mach 1,2 et le belligérant est vite rentré au bercail  

D'ailleurs on le voit plus sur le forum, depuis il se terre chez lui, wifi débranché à l'idée que la NSA puisse l'espionner  

https://www.letelegramme.fr/bretagne/insolite-a-la-recherche-du-shrek-perdu-22-06-2015-10675472.php


:D