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A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
aux vues de l'histoire de mimich (tu ferais de super camps scout autour du feu avec une telle verve...j'ai dit verve!!!) je pense qu'il serait mieux d'afficher des missiles et autres objets de ce calibre....
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Et bien chers téléspectateurs, je profite de l'heure tardive en cette fin d'émission pour vous présenter une version plus... comment dirais-je.... osée de cette histoire...
Donc, voici maintenant...
suspens...
emotion...
(Ah, Simone, y'a encore un film de cul! On r'met ça???? Comment ça, tu assures le standard??? )
la...
Donc, voici maintenant...
suspens...
emotion...
(Ah, Simone, y'a encore un film de cul! On r'met ça???? Comment ça, tu assures le standard??? )
la...
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Version porno
Il était une fois un prince qui vivait dans un chateau.
Enorme (Putain, ce godemiche! C'est quand qu'il empale?).
Ce prince vivait seul (Pas °°° Mot Interdit °°°! Avec tout ce pognon, il ramassait toutes les gonzesses qu'il voulait!), entouré de ses domestiques (bon, l'histoire dit qu'il pas coincé toutes les servantes et pas qu'au au fond de l'office), et était membré, très membré, très très membré, méchamment membré... (oui, c'est bon, on a compris : il est monté comme une ane, quoi!)
Une fée (La fée Lation, bien sur!), à qui il voulait refaire le ass (ouh le méchant!), le transforma en une immonde bite(et paf! Bien fait pour lui!), qui serait impuissant à jamais s'il n'était pas aimé d'une femme (Héhé, vu la tête de noeud qu'il a maintenant, c'est pas gagné pour lui!) avant que le dernier poil d'une couille soit tombé (Pour un mec membré, ils auraient pu lui mettre 2 couilles... Enfin, moi, ce que j'en dis...).
En ce temps là vivait au village voisin un bon père de famille du nom de Iron31, entouré de ses trois filles.
Cet homme exerçait la profession de windsurfer. Las, les affaires n'étaient point florissantes, et le palmarès ne croulait pas sous les podiums (Pfui! Encore un sponsorisé qui se traine, ça! M'en vais tous les remettre au boulot, ces faineants (NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
A bout de ressources, le père décida alors de sacrifier ses dernières économies pour se rendre à la grande compet de la ville voisine pour essayer d'y accrocher un podium.
Mais il ne décrocha pas le moindre accessit, la plus petite médaille.
Dépité, la bourse vide (Ah, s'il avait rencontré la fameuse Fée du premier paragraphe, c'est les bourses qu'il auraient eu de vides!), il s'en retourna chez lui.
Pressé d'être auprès des siens, il décida alors de couper court par la forêt, malgré la mauvaise réputation (Au village sans prétention...) de celle ci, et gagner ainsi deux jours de trajet (Grâce au péage LiberT, économisez sur vos trajets! (NDLR : PubliReportage : faut bien vivre!)).
Mais aveuglé par le chagrin, étourdi par le malheur, il s'égara en traversant la forêt maudite (Achète un GPS, hé blaireau!).
Pris en chasse par une meute de chiennes en chaleur (saloooooooopes!), il trouva refuge dans le parc d'un chateau qui semblait désert (A force de se faire casser le ass dans les compets, il était devenu pédé comme un foc! Vous savez, celui qui prend le vent pas l'arrière!(NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
Tapant à la porte, et voyant que personne ne répondait, il osa entrer et, errant à travers les salles, vit un grand lit, rempli de godes délicieux (Ben tiens, c'est les Editions Marc Dorcel!).
N'y tenant plus, il s'assit et s'en enfila un ou deux (à la fois! Héhé!) avant de s'endormir d'un sommeil profond (Les matelas Dunlopillo : pour se gratter une couille sans réveiller l'autre!(NDLR : PubliReportage :ben oui, y'a les impots qui viennent de tomber... Et les impots, c'est comme la sodomie, c'est le dernier tiers qui fait mal!)).
A son réveil, il sentit une bite monstrueuse qui le défonçait (Préservatifs Durex : pour que ça glisse mon fils! (NDLR : PubliReportage : ben oui, l'était gros le dernier tiers! M'a bien fait mal au cul! Mais promis je le referai plus!).
La bite s'adressa à lui d'une voix terrible : "Qui vous a permis d'entrer dans mon chateau? Quoique, je suis bien entré dans votre fion... Avec difficulté, certes, mais sans votre permission... (Crème hydratante L'Oréal : pour que ça fasse moins mal! (NDLR : ah merde, j'avais dit que je le ferais plus!))".
Le père eut beau expliquer, bafouiller (Pas facile de parler la bouche pleine! Ben oui, il restait encore un gode dont il savait pas quoi faire...), rien n'y fit, et la semence tomba.
Il resterait enfilé jusqu'au dernier centimètre (Et hop : avec une rallonge de cette taille, il va nous faire péter un résultat, oui?! (NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
Or, au village, la plus jeune de ses filles, que tout le monde appelait Belle (Une jolie Belle dans une peau d'vache, une jolie vache déguisée en fleur...), inquiète de ne pas voir revenir son père, partit à sa recherche.
En chemin, elle rencontra (La rirette, la rirette...) le cheval du pauvre homme, qui, effrayé (tafiolle!), rentrait au village.
Elle le persuada de la mener jusqu'à son père (Encore une qui les mène par le bout de la queue, tiens!).
Entrant à son tour dans le chateau maudit (Bah, les gonzesses, de toutes manières, ça avance pas...(NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)), elle vit la Bite et s'évanouit de frayeur (Vraiment une petite nature... C'est ).
A son réveil, elle était dans un cachot sombre, mais une voix familière la fit sursauter (tarlouze!) : c'était son père!
Mais la terrible voix de la bite se fit entendre (Gare au gori-i-i-i-i-iii-lle!!): "un seul de vous repartira , et l'autre se fera enfiler pour l'éternité (Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on aime le °°° Mot Interdit °°°, on aime le °°° Mot Interdit °°°...).
Vous avez jusqu'à ce soir pour vous décider."
Le père frémit et dit à sa fille : "Tu repartiras au village, et je resterai ici" (Kom C beau!).
Mais celle ci ne voulut rien entendre, et préféra se sacrifia plutot que d'endurer le chagrin de savoir son père enfilé (Kom C enkor plus beau!).
Aussi, le soir venu, elle fit part à la bête de sa décision.
"Bien.
Vous serez ma chose.
Mais je ne suis pas un monstre (t'as qu'à croire! T'as vu ta tronche, hé macaque!).
Vous pourrez aller et venir dans le chateau à votre guise, sauf dans mes appartements.
Par contre, vous devrez piner avec moi chaque soir à 7 h précises. (Timex, la précision au quotid... Oups, j'ai failli m'oublier!)"
Le père repartit donc au village, laissant sa fille adorée aux mains (d'habitude, les pères ont plutot l'habitude d'accorder la main de leur fille. Enfin, si c'est pour faire ça à la main, on peut se démerder tous seuls...) de la Bite (Manière de parler...).
La vie au Chateau s'organisa petit à petit pour la Belle.
Si les premiers temps furent difficiles (Ben tiens : 56 cm, 12 godes et 4 fois par jour rien que pour toi, un vrai calvaire! Mais quelle bonasse!), elle s'habitua (Encore heureux! Putain, ces nouveaux vagins!) petit à petit à la taille de la Bite.
Celui ci se montrait souvent (exhibitionniste!), ne lubrifiait jamais sa prisonnière, mais souffrait dans son coeur de ne pas être aimé, et de voir le sortilège se prolonger (oauis, enfin, ça va, on va pas le plaindre, non plus!).
Or, le temps pax (Locution latine. C'est en sortant du corps enseignant que j'ai appris ça...).
La couille se pelait (d'ou la fameuse expression : se peler les couilles!), et il ne lui restait plus que quelques poils pour défaire l'enchantement, avant qu'il ne devienne définitif.
Il décida donc de raconter son histoire à la Belle et de lui demander de l'aimer.
Mais c'était trop pour elle, même si ça taille l'enchantait, elle n'était pas prête à accorder son amour à une Bite.
Pendant ce temps, au village (sans prétention... ah bon, je l'ai déjà faite, celle là? désolé!), c'était la révolution.
Le père était revenu, avait raconté toute son histoire (fayot! Quoique, il avait zappé le passage des godes...), et les villageaois montaient une expédition pour délivrer Belle.
Ils s'armèrent de fouets, lances, vits et marchèrent à grand pas sur le Chateau de la Bite.
Forçant les grilles, ils mirent le feu (Allumer, le feu... Ah non, on a dit Brassens! On laisse pas rentrer n'importe qui, dans ce cabaret!) pour faire sortir le monstre de son derrière (Sortir de derrière, c'est pas avec la RS-X qu'on va y arriver...(NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
Celui-ci, fou furieux (tu m'étonnes! On te fout le feu à la baraque pour venir te piquer ta gonzesse, y'a de quoi être vénèr!), se rua sur les assaillants, et, les bitant avec une verge décuplée par l'excitation (je cause bien, non?), il mit en déroute (une déroute à 2 voies, on appelle ça une biroute...) les villageois (Bête 1- Village 0) (en fait, il les mit tout court...).
Mais il avait été contaminé dans la partouze (Penalty pour le Village, quel suspens mon petit Jean Mimi!), et se grattait abondamment (Oui, tout à fait thierry. Mais je tenais à dire que quand un joueur a choppé des morpions, il doit normalement sortir du terrain. C'est pas joli joli, tout ça!)!
Voyant celà, Belle désespérée, se précipita au chevet de la Bite (Ah non, les remplaçants restent en dehors du terrain, s'il vous plait!).
Celle ci lui murmura dans un souffle : "vous ne m'aimez pas, il ne me reste qu'à débander.
Ainsi, vous serez libérée et pourrez retourner parmi les votres".
Horrifiée à la pensée de perdre la Bite (une pièce comme ça, c'est pas tous les jours!), Belle se rendit compte qu'au fond de son cul, elle était bien chaude, même si l'apparence flatteuse (c'est le moins qu'on puisse dire. Une gaule pareille, à part pour enfiler des tapettes par paquet de 12, je vois pas...) lui avait masqué cette attirance.
"Non, ne débandez pas, je vous aime...".
A ces mots, le sortilège fut brisé, les blessures de la Bite guérirent (Ah! Penalty manqué! au dessus de la barre! C'est pas possible! Il a deux pieds gauche, cet homme là!), et il retrouva son apparence de mimich (Oui, Thierry, quel dommage! d'ailleurs, l'arbitre vient de siffler la fin du match, je crois qu'un des joueurs vient de changer de maillot.).
Je vous passe, la fin, mais pour faire bref, ils se marièrent, eurent beaucoup de chiards (Ah mon petit Jean Mimi, ces deux là, ils ont continué le match dans les vestiaires, et il a du lui tirer quelques coups francs entre les poteaux!), les confièrent à l'abbé Picasso qui les sodomisa, et tout le tintouin.
FIN
Il était une fois un prince qui vivait dans un chateau.
Enorme (Putain, ce godemiche! C'est quand qu'il empale?).
Ce prince vivait seul (Pas °°° Mot Interdit °°°! Avec tout ce pognon, il ramassait toutes les gonzesses qu'il voulait!), entouré de ses domestiques (bon, l'histoire dit qu'il pas coincé toutes les servantes et pas qu'au au fond de l'office), et était membré, très membré, très très membré, méchamment membré... (oui, c'est bon, on a compris : il est monté comme une ane, quoi!)
Une fée (La fée Lation, bien sur!), à qui il voulait refaire le ass (ouh le méchant!), le transforma en une immonde bite(et paf! Bien fait pour lui!), qui serait impuissant à jamais s'il n'était pas aimé d'une femme (Héhé, vu la tête de noeud qu'il a maintenant, c'est pas gagné pour lui!) avant que le dernier poil d'une couille soit tombé (Pour un mec membré, ils auraient pu lui mettre 2 couilles... Enfin, moi, ce que j'en dis...).
En ce temps là vivait au village voisin un bon père de famille du nom de Iron31, entouré de ses trois filles.
Cet homme exerçait la profession de windsurfer. Las, les affaires n'étaient point florissantes, et le palmarès ne croulait pas sous les podiums (Pfui! Encore un sponsorisé qui se traine, ça! M'en vais tous les remettre au boulot, ces faineants (NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
A bout de ressources, le père décida alors de sacrifier ses dernières économies pour se rendre à la grande compet de la ville voisine pour essayer d'y accrocher un podium.
Mais il ne décrocha pas le moindre accessit, la plus petite médaille.
Dépité, la bourse vide (Ah, s'il avait rencontré la fameuse Fée du premier paragraphe, c'est les bourses qu'il auraient eu de vides!), il s'en retourna chez lui.
Pressé d'être auprès des siens, il décida alors de couper court par la forêt, malgré la mauvaise réputation (Au village sans prétention...) de celle ci, et gagner ainsi deux jours de trajet (Grâce au péage LiberT, économisez sur vos trajets! (NDLR : PubliReportage : faut bien vivre!)).
Mais aveuglé par le chagrin, étourdi par le malheur, il s'égara en traversant la forêt maudite (Achète un GPS, hé blaireau!).
Pris en chasse par une meute de chiennes en chaleur (saloooooooopes!), il trouva refuge dans le parc d'un chateau qui semblait désert (A force de se faire casser le ass dans les compets, il était devenu pédé comme un foc! Vous savez, celui qui prend le vent pas l'arrière!(NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
Tapant à la porte, et voyant que personne ne répondait, il osa entrer et, errant à travers les salles, vit un grand lit, rempli de godes délicieux (Ben tiens, c'est les Editions Marc Dorcel!).
N'y tenant plus, il s'assit et s'en enfila un ou deux (à la fois! Héhé!) avant de s'endormir d'un sommeil profond (Les matelas Dunlopillo : pour se gratter une couille sans réveiller l'autre!(NDLR : PubliReportage :ben oui, y'a les impots qui viennent de tomber... Et les impots, c'est comme la sodomie, c'est le dernier tiers qui fait mal!)).
A son réveil, il sentit une bite monstrueuse qui le défonçait (Préservatifs Durex : pour que ça glisse mon fils! (NDLR : PubliReportage : ben oui, l'était gros le dernier tiers! M'a bien fait mal au cul! Mais promis je le referai plus!).
La bite s'adressa à lui d'une voix terrible : "Qui vous a permis d'entrer dans mon chateau? Quoique, je suis bien entré dans votre fion... Avec difficulté, certes, mais sans votre permission... (Crème hydratante L'Oréal : pour que ça fasse moins mal! (NDLR : ah merde, j'avais dit que je le ferais plus!))".
Le père eut beau expliquer, bafouiller (Pas facile de parler la bouche pleine! Ben oui, il restait encore un gode dont il savait pas quoi faire...), rien n'y fit, et la semence tomba.
Il resterait enfilé jusqu'au dernier centimètre (Et hop : avec une rallonge de cette taille, il va nous faire péter un résultat, oui?! (NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
Or, au village, la plus jeune de ses filles, que tout le monde appelait Belle (Une jolie Belle dans une peau d'vache, une jolie vache déguisée en fleur...), inquiète de ne pas voir revenir son père, partit à sa recherche.
En chemin, elle rencontra (La rirette, la rirette...) le cheval du pauvre homme, qui, effrayé (tafiolle!), rentrait au village.
Elle le persuada de la mener jusqu'à son père (Encore une qui les mène par le bout de la queue, tiens!).
Entrant à son tour dans le chateau maudit (Bah, les gonzesses, de toutes manières, ça avance pas...(NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)), elle vit la Bite et s'évanouit de frayeur (Vraiment une petite nature... C'est ).
A son réveil, elle était dans un cachot sombre, mais une voix familière la fit sursauter (tarlouze!) : c'était son père!
Mais la terrible voix de la bite se fit entendre (Gare au gori-i-i-i-i-iii-lle!!): "un seul de vous repartira , et l'autre se fera enfiler pour l'éternité (Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on aime le °°° Mot Interdit °°°, on aime le °°° Mot Interdit °°°...).
Vous avez jusqu'à ce soir pour vous décider."
Le père frémit et dit à sa fille : "Tu repartiras au village, et je resterai ici" (Kom C beau!).
Mais celle ci ne voulut rien entendre, et préféra se sacrifia plutot que d'endurer le chagrin de savoir son père enfilé (Kom C enkor plus beau!).
Aussi, le soir venu, elle fit part à la bête de sa décision.
"Bien.
Vous serez ma chose.
Mais je ne suis pas un monstre (t'as qu'à croire! T'as vu ta tronche, hé macaque!).
Vous pourrez aller et venir dans le chateau à votre guise, sauf dans mes appartements.
Par contre, vous devrez piner avec moi chaque soir à 7 h précises. (Timex, la précision au quotid... Oups, j'ai failli m'oublier!)"
Le père repartit donc au village, laissant sa fille adorée aux mains (d'habitude, les pères ont plutot l'habitude d'accorder la main de leur fille. Enfin, si c'est pour faire ça à la main, on peut se démerder tous seuls...) de la Bite (Manière de parler...).
La vie au Chateau s'organisa petit à petit pour la Belle.
Si les premiers temps furent difficiles (Ben tiens : 56 cm, 12 godes et 4 fois par jour rien que pour toi, un vrai calvaire! Mais quelle bonasse!), elle s'habitua (Encore heureux! Putain, ces nouveaux vagins!) petit à petit à la taille de la Bite.
Celui ci se montrait souvent (exhibitionniste!), ne lubrifiait jamais sa prisonnière, mais souffrait dans son coeur de ne pas être aimé, et de voir le sortilège se prolonger (oauis, enfin, ça va, on va pas le plaindre, non plus!).
Or, le temps pax (Locution latine. C'est en sortant du corps enseignant que j'ai appris ça...).
La couille se pelait (d'ou la fameuse expression : se peler les couilles!), et il ne lui restait plus que quelques poils pour défaire l'enchantement, avant qu'il ne devienne définitif.
Il décida donc de raconter son histoire à la Belle et de lui demander de l'aimer.
Mais c'était trop pour elle, même si ça taille l'enchantait, elle n'était pas prête à accorder son amour à une Bite.
Pendant ce temps, au village (sans prétention... ah bon, je l'ai déjà faite, celle là? désolé!), c'était la révolution.
Le père était revenu, avait raconté toute son histoire (fayot! Quoique, il avait zappé le passage des godes...), et les villageaois montaient une expédition pour délivrer Belle.
Ils s'armèrent de fouets, lances, vits et marchèrent à grand pas sur le Chateau de la Bite.
Forçant les grilles, ils mirent le feu (Allumer, le feu... Ah non, on a dit Brassens! On laisse pas rentrer n'importe qui, dans ce cabaret!) pour faire sortir le monstre de son derrière (Sortir de derrière, c'est pas avec la RS-X qu'on va y arriver...(NDLR : note suggérée par Monsieur N.P. de Maui)).
Celui-ci, fou furieux (tu m'étonnes! On te fout le feu à la baraque pour venir te piquer ta gonzesse, y'a de quoi être vénèr!), se rua sur les assaillants, et, les bitant avec une verge décuplée par l'excitation (je cause bien, non?), il mit en déroute (une déroute à 2 voies, on appelle ça une biroute...) les villageois (Bête 1- Village 0) (en fait, il les mit tout court...).
Mais il avait été contaminé dans la partouze (Penalty pour le Village, quel suspens mon petit Jean Mimi!), et se grattait abondamment (Oui, tout à fait thierry. Mais je tenais à dire que quand un joueur a choppé des morpions, il doit normalement sortir du terrain. C'est pas joli joli, tout ça!)!
Voyant celà, Belle désespérée, se précipita au chevet de la Bite (Ah non, les remplaçants restent en dehors du terrain, s'il vous plait!).
Celle ci lui murmura dans un souffle : "vous ne m'aimez pas, il ne me reste qu'à débander.
Ainsi, vous serez libérée et pourrez retourner parmi les votres".
Horrifiée à la pensée de perdre la Bite (une pièce comme ça, c'est pas tous les jours!), Belle se rendit compte qu'au fond de son cul, elle était bien chaude, même si l'apparence flatteuse (c'est le moins qu'on puisse dire. Une gaule pareille, à part pour enfiler des tapettes par paquet de 12, je vois pas...) lui avait masqué cette attirance.
"Non, ne débandez pas, je vous aime...".
A ces mots, le sortilège fut brisé, les blessures de la Bite guérirent (Ah! Penalty manqué! au dessus de la barre! C'est pas possible! Il a deux pieds gauche, cet homme là!), et il retrouva son apparence de mimich (Oui, Thierry, quel dommage! d'ailleurs, l'arbitre vient de siffler la fin du match, je crois qu'un des joueurs vient de changer de maillot.).
Je vous passe, la fin, mais pour faire bref, ils se marièrent, eurent beaucoup de chiards (Ah mon petit Jean Mimi, ces deux là, ils ont continué le match dans les vestiaires, et il a du lui tirer quelques coups francs entre les poteaux!), les confièrent à l'abbé Picasso qui les sodomisa, et tout le tintouin.
FIN
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
devant l'afluence sur ce post, on a du recruter au standart...




Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Oui, allo le standard, Simone?
C'est pas Simone?
Quoi, le standard vient d'exploser? Comment, pas le standard? Le cul de Simone?
C'est pas Simone?
Quoi, le standard vient d'exploser? Comment, pas le standard? Le cul de Simone?
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
rôôôô c'est un peu olé olé...tu cautionne ça blue? on croirait du sinker des fois... 

Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
la direction de cet établissement fait un geste pour simone et ses collègues du standart... affin d'éviter une explosion précoce




Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Moi je le dit , je le clame :
POST DE PLATINE

MERCI MIMICH, t'as réussi à me remonter le moral.
J'veux bien la marque de ce que tu fumes (en mp)
POST DE PLATINE
MERCI MIMICH, t'as réussi à me remonter le moral.
J'veux bien la marque de ce que tu fumes (en mp)
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Et bien chers téléspectateurs bonsoir, nous sommes en duplex avec la remise des 69 de platine.
Le 69 de platine vient d'être attribué à Simone, pour sa collaboration exceptionnelle au standard!
Simone, un commentaire??
"Mmmmmm mmmmm mmmm slurp"
Et bien merci Simone, et à bientôt pour une nouvel épisode de "Perdu de vue"!
A vous les studios!
Le 69 de platine vient d'être attribué à Simone, pour sa collaboration exceptionnelle au standard!
Simone, un commentaire??
"Mmmmmm mmmmm mmmm slurp"
Et bien merci Simone, et à bientôt pour une nouvel épisode de "Perdu de vue"!
A vous les studios!
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
QUOTE(MouStik @ 6 Oct 2005, 03:37 PM)
rôôôô c'est un peu olé olé...tu cautionne ça blue? on croirait du sinker des fois... 
[right][snapback]275549[/snapback][/right]

[right][snapback]275549[/snapback][/right]
ben quoi, c'est faux, moi je suis délicat, poëte, sensible et romantique !!!
bordel de merde de putain de saloperie de chiotte, quoi !

Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
platine oui monsieur mimich, avec des diam's et des rubis partout sur ta couronne... 

Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
Chers téléspectateurs, toutes les bonnes choses ayant une fin, il est temps de rendre l'antenne.
Bonne soirée à tous.
Vous pouvez reprendre une activité normale.
Bon, au standard, vous en êtes ou?
Je viens de rendre l'antenne, et je crois que je vais prendre Simone!
Bonne soirée à tous.
Vous pouvez reprendre une activité normale.
Bon, au standard, vous en êtes ou?
Je viens de rendre l'antenne, et je crois que je vais prendre Simone!
Re :A la demande générale..., Ou presque... Enfin, ils étaient 3, quoi
et bon courage surtout
