FiFi @ 18/03/2018 - 13h37 a dit:
L'avantage, c'est que souvent le matos local (si on en trouve) est assez propre (herbe, eau douce, peu de vent, peu de sorties).
Une voile de 5 ans en lac usage soigneux, elle n'est pas encore morte loin s'en faut.
Le nombre de sorties de la voile a beaucoup d'importance, plus que les données eau douce/eau salée et herbe/sable je pense.
Dans la période 1994-2009, je faisais beaucoup de sorties par an (pas loin d'une centaine), et ma voile principale était complètement rincée en 2 ans (soit 100-120 sorties, essentiellement en eau douce). Il y en a plusieurs comme cela que je n'ai même pas pu revendre au bout de deux ans : poubelle après avoir récupéré les cambers et les lattes.
Par contre, si une voile sort peu, elle reste en très bon état (c'est le cas par exemple mes Naish 5,3 ; 4,7 et 4,0 que j'ai depuis 2010 et qui sortent essentiellement en eau salée, mais rarement). La 6.2 de la même époque qui sort un peu plus souvent est plus abîmée.