Sans la poutine et le porc, possibles nourritures de dieux improbables, nous ne serions peut-être pas encore là !
4 octobre 2015, 14:15
PUTINA DE PUTTINA ! PUTAIN DE COCHON !
Le Porc noir de Bigorre venu avec les basques n'est pas passé par Sumer. Il est noir comme celui des originesLe Porc noir de Bigorre venu avec les basques n'est pas passé par Sumer. Il est noir comme celui des origines
Connaissant bien la poutine, j'ai été attiré par un article posté par @Brigitte Gremillet comme le sont les alevins par les lanternes des pêcheurs au lamparo la nuit pour attirer les essaims.
Je fus évidemment déçu car la poutine québécoise dont il était question n'a rien à voir avec l'ancienne poutine française de Nice, Marseille ou Martigues, désormais interdite sauf à de rares périodes et sans recourir à la pêche au lamparo. Encore moins avec la salade russe à la sauce du nouveau tzar des lieux.
Ayant vécu un peu à Nice, je connais bien la poutine, ce plat d'alevins d'une espèce d'anchois à Nice ou de sardine à Marseille où elle ne risquait pas de boucher l'entrée du port. J'ai appris par @Eric Tribaudini qu'à Martigues, cela s'appelait le mêlet, sans doute pour indiquer que les alevins étaient ceux de plusieurs espèces.
Et le porc là-dedans : on y vient !
Cette nourriture dont le tourisme local a abusé, d'où sa relative interdiction, est la source de protéine dont l'ADN, le Ph et les équilibres sont le moins invasifs pour l'homme comme des scientifiques l'ont récemment démontré en les mettant à égalité avec la viande de porc où nos ancêtres paléoceltes semblent avoir greffé des gênes humains, d'où son goût, pour éviter de manger de la viande affectant l’épigène humain Mais on raconte tellement de conneries depuis la prise de pouvoir des religieux...
J'ai vécu dans les années 60 à Marseille près du Vallon des Auffes que connait bien mon amie @Marie de Mars, oui de Marseille et de la Mer justement, et je venais regarder entre corniche, rochers du Vallon et château d'If le ballet des lanternes des pêcheurs au lamparo.
Et comme ils disaient : "putina de puttina"...
Et l'interdit du porc, alors ?
Sur ces entrefaits, Micheline Saint-Jours s'interrogeait : "est-ce que le fait que dans le porc il y ait des gênes humains aurait dicté la loi islamique ? Cela de nos jours peut-il intervenir d'une manière quelconque sur notre l'organisme ?"
Quand j'ai découvert que les scientifiques confirmaient que l'ADN du porc n'était autre que celui du sanglier avec en plus deux chromosomes qui auraient été ajoutés successivement et qui s'apparenteraient aux deux chromosomes humains qui définissent la texture, la composition et les principaux déterminants de chair humaine (l'un de loin ayant semble-t-il échoué, l'autre, le second, de près), je me suis bien-sûr posé la même question.
Tout d'abord, précisons qu'on n'est pas dans le fantasme et tout cela est vérifié scientifiquement même si c'est tabou et si les généticiens ne se sont jamais aventurés à conjecturer quoique que ce soit sur les origines de cette coïncidence : hasard, transfert involontaire ou volontaire, co-évolution ou mutation involutive vers des gènes anciens communs, etc.
Peut-être tout cela doit-il être superposé, car cette adjonction est génétiquement datée entre -40.000 et -12.000 ans. Coïncidence curieuse. Non ?
Toujours est-il qu'il semble bien que les peuples qui sont censés avoir domestiqué le sanglier en tant qu'espèce porcine, le vénérait comme nourriture des "dieux", des "deos" (cf temple de Belos cher à Youmna K-Draghi), c.a.d. des seigneurs sédentarisés du "jardin".
On peut penser que cette nourriture génétiquement ou physiologiquement (voir comment cela a été défini) neutre (comme les anchois et la poutine justement) permettait de garantir un apport en protéine sans manger d'animal vivant considéré comme pouvant polluer l'épi-gène humain (cf. ma lecture de la genèse sumérienne - série Genesis).
Les seigneurs avaient interdit la consommation de ce "porc", une chimère issue de leurs expériences de bric à brac génétique qui sont à l''origine de toutes ces chimères "à double principe" fantasmatiquement évoquées dans le temple de Belos, ou dans les chimères mythologiques comme Minotaure, chimères ne pouvant normalement pas se reproduire. Rappelons-nous le gène "terminator" censé contrarier la prolifération des OGM.
Aussi bien le porc s'est-il reproduit hors de ses enclos du "Jardin".
Elevé hors des conditions sanitaires du laboratoire antique, il était un danger pour l'homme car sa chair, ainsi rendue compatible avec la notre, devenait l'inverse de ce pourquoi il avait été conçu en lui transmettant toutes ses maladies.
Pas question que les hordes de sangliers hybridés avec ce cochon échappé du jardin ne tuent les ouvriers extérieurs qui devaient servir de travailleurs (même mot que vénérer en akkadien - sic- ) aux seigneurs dont les akkadiens firent des dieux pour oublier qu'ils étaient des hommes. La genèse commencent par "Les seigneurs en tant qu'ils étaient des hommes", et non "Les dieux du temps où ils étaient encore des hommes" selon Botéro à botter en touche).
Par conséquent l'interdit religieux et l'interdit alimentaire se superposent dans une origine commune.
Ensuite, l'obscurantisme religieux et surtout l'oubli font leur oeuvre.
Les akkadiens connaissaient-ils encore l'origine du porc en transmettant l'interdit ? Pas certain.
Ils ont fait du rose, le rouge du sang qu'on voit à travers la peau du porc comme des paléoceltes (adam), le symbole du mal comme de la connaissance (Sodome, les enfant des peaux rouges, littéralement les "porcs").
Mais comme la génétique l'a montré et comme l'étaient les premières espèces élevées par les druides descendant des sumériens, le porc était noir comme la peau de ceux dont les gènes avaient été empruntés. Ce qui semblerait indiquer que nous étions encore tous noirs à cette époque, donc très ancienne.
Son incarnation a suivi la même évolution, puis involution, puis re-évolution des hommes du peuple K : noir, puis peau-rouge après métissage avec le néandertal, puis rembrunissement puis éclaircissement à nouveau.
Curieusement le porc a donc suivi une évolution semblable.
On est donc loin d'avoir tout compris de cette co-évolution.
Mais on comprend bien l'image délétère que les peuples arias qui conquièrent les territoires occupés par les paléoceltes d'origine K, malgré leur coopération vraisemblable en Mésopotamie, ont collé à cet animal.
Il faut également préciser, comme la génétique l'a aussi montré, que le porc industriel actuel n'a qu'un lointain rapport avec le porc sumérien, celui qu'on a récemment retrouvé également dans les environs de Stonehenge et partout où les paléoceltes ont élevé des monuments mégalithiques.
Ce qui confirme bien le caractère particulier de l'élevage de cet animal dans des enceintes consacrées sinon sacrées, vues comme diaboliques par d'autres.
Le porc corse et sicilien serait plus proche du porc originel. Ce qui fera plaisir à nos facebookiens corses, notamment à @Michel Cristiani !
De fait ceux qui le consomment ont, cela vient d'être établi, la longévité la plus grande, loin devant le régime crétois et devant les vieux d'un lieu japonais qui justement devrait sa performance à la consommation de l'équivalent japonais de la poutine.
Poutine et porc ancestral sont donc bien la nourriture des "dieux" garant de leur longévité biblique, certes fantasmée mais avec un zeste de vérité.
Le petit groupe humain dont nous descendons, lequel a survécu en -65.000 ans, aurait été miraculé grâce à une crique bien identifiée d'Afrique du Sud aujourd'hui submergée . Elle aurait prodigué les moyens de la survie : une poutine locale (dossier scientifique que j'avais publié) et des mollusques.
Avec les yeux grand ouverts plantés dans ce background, il faut également relire le mythe très éclairant de Circée...
Me traitera-t-on de fou ! Peu importe. Chaque point peut être prouvé. Encore faut-il les assembler !
Patrice Hernu
4 octobre 2015
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