Directwind.com

J'étais en train de rechercher un mp3 histoire d'écouter avant d'acheter...<br /><br />
j'ai eu une fenêtre qui m'a bloqué le navigateur, je pouvais plus rien faire ni fermer, ni ouvrir autre chose..<br /><br />
une page bien imité avec le logo de l'Etat Français, un texte comme quoi j'avais trop téléchargé que j'étais un hors-la-loi... que j'étais ici (bizarre, ils sont sont planté de 50kms alors que les sites des cochonnes qui te propose un plan machin se trompe jamais)<br /><br />
J'ai pu tout fermer avec le gestionnaire de tache...<br /><br />
trop fort comme arnaque !!! ha, il fallait que je paye pour débloquer  <img src="smileys/biggrin.gif" alt=":D" class="smiley" />

Ce genre de page :

Rien que la gueule de flamby en haut a droite je débranche le pc direct.....

je l'avais pas  

J'ai l'impression que les spammeurs/malwareurs font du forcing en ce moment... moi aussi j'ai été emmerdé ces temps ci... Ca devient inquiétant, surtout pour ceux qui ne comprennent rien au pici...

J'ai eu ça trois quatre fois au boulot, tu as intérêt a nettoyer correctement ton PC, sinon ça va revenir.


Lance MSCONFIG, tu vas voir que t'a un truc dans le démarrage qui va pas.

tiens l'arnaque des patrons contre la santé des salariés


http://www.bastamag.net/Souffrance-au-travail-de-plus-en


" la chambre disciplinaire régionale de l’Ordre des médecins considère qu’une entreprise est en droit de porter plainte pour violation de la déontologie médicale à partir du moment où elle est citée dans un certificat. Et que le médecin du travail relève « du droit privé ». Décrire un lien entre santé et travail – tout ce que la médecine du travail s’attelle à faire depuis 30 ans – revient alors à « s’immiscer dans les affaires de famille » et « dans la vie privée du patient », ce qui est proscrit par le Code de déontologie. L’employeur et l’entreprise seraient-ils considérés comme relevant de la « famille » d’un patient ? Un médecin du travail ne pourra-t-il plus donc « s’immiscer » dans l’organisation du travail et ce qu’en dit un salarié en souffrance, sous prétexte que cela relève de « la vie privée » ?"