QUOTE(petole-man)
4 ans de sexe= deplacement des couilles (je deconne, mais n'empeche que ca doit faire mal.)
Alors là, Rambo, t'as échappé au pire vu tes antécédents

:
FRACTURE DES CORPS CAVERNEUX ... tu connais ?
un truc de bourrin !!
Pour illuster la chose, un article tiré d'un journal grand public (... pour calmer la censure qui veille :? )
paru dans Libé le lundi 22 mars 2004 sous le titre "les cracs du pénis" :
Accident spectaculaire autant que douloureux, la fracture du pénis est qualifiée de «blessure rare» dans la littérature médicale, (…) le Journal of the National Medical Association (vol. 96, n° 2, pp. 229-33), note une augmentation sensible du nombre de cas, et souligne que les trois quarts ont une «cause non coïtale». Comprendre : les intéressés se sont fait ça en se tripotant rudement la zigounette.
Aussi est-il opportun de lancer ici un appel à la prudence. Avec d'abord ce rappel : si le pénis n'est pas un os, il en a presque tous les attributs lorsque son propriétaire est «en de bonnes dispositions», comme disait Pierre Dac. Le corps caverneux qui rigidifie l'engin peut casser, émettant alors un «crac» dénué d'ambiguïté. En général, on ne se fracture pas le pénis en lisant le Monde diplomatique. Ni même pendant un rapport conjugal du samedi soir. Il faut y mettre le paquet. Aux urgentistes qui les accueillent, les patients servent diverses salades : je me suis retourné brutalement dans mon lit alors que j'étais en érection. Ou encore : je prenais le thé avec des amies lorsque l'une d'elles s'est assise par mégarde sur mes genoux.
Un hôpital du Kurdistan iranien a vu défiler 172 cas en dix ans, ce qui est nettement supérieur à la moyenne. La raison : une pratique locale dite taghaandan, qui consiste à appuyer dessus comme un sourd pour accélérer la détumescence. Eh bien, ça ne marche pas comme ça. S'il vous arrivait, malgré ces conseils de prudence, de vous la péter en jouant avec des camarades, pas de panique. Ça se répare, plutôt bien en général (si l'urètre n'est pas trop abîmé). On peut rebander au bout de deux jours environ, et reprendre une activité raisonnable avec sa/son/ses partenaires après deux semaines.
source : Libération / Edouard Launet.